Au début de l'année 1975, l'étau communiste se resserre inexorablement autour de la capitale cambodgienne. Les 2 millions d'habitants ne survivent alors que grâce à un pont aérien logistique, soutenu par les États-Unis. Face au nombre et à l’équipement des khmers – plus de 15 000 sont larguées sur la ville en un espace de deux mois – l'armée gouvernementale sombre dans une impuissance fatale.
Si tout devait être plus simple, nous irions mourir dans les cimetières