Situé à 3 812 mètres d’altitude au cœur de la cordillère des Andes, le lac Titicaca est souvent présenté comme le plus haut lac navigable du monde. Avec une superficie de 8 346 km² et un volume de 893 km³, il dépasse largement le lac Léman.
S’il est bien une chose que l’on ne saurait contester au XIXe siècle français, c’est qu’il fut copieusement rempli. Politiquement, artistiquement, il y en a pour tous les goûts. Tandis que la grande Révolution y résonne toujours et que ses échos s’appellent droit de vote, parlementarisme et libéralisme, une autre révolution, industrielle celle-là, apporte le chemin de fer et les barricades.
La France que la phase jacobine de la Révolution a léguée au Directoire est un pays aussi affaibli que victorieux. Comment ce régime instable (1795-1799), l'un des plus injustement dédaigné, sous-estimé et méconnu de l'époque contemporaine, a-t-il réceptionné cet héritage diplomatique ?
Notre article commence, une fois n'est pas coutume, par un rêve. Évidemment, ce songe relève sans doute plus du mythe que de la réalité historique, mais une fois n'est pas coutume, laissons-nous embarquer en-dehors des chemins bien droits des faits historiques.
Le dérèglement climatique semble être, pour une majorité, une menace. Toutefois, l'augmentation des températures apparaît, pour une minorité certes, comme une opportunité. L'Arctique illustre bien cette idée. Néanmoins, bien que la banquise arctique fonde à grande vitesse, rebattant les cartes des routes maritimes mondiales, il faut bien démêler ici les discours officiels des réelles intentions.
Fin septembre 2024, le porte-avions Charles de Gaulle reprend la mer après quatre mois d'immobilisation. Cette fois-ci, la mission se révèle inédite. Jamais encore, le porte-avions français et son groupe aéronaval ne sont allés si loin sur les mers.